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CONFERENCE-DEBAT ACHATS RESPONSABLES 16 10 2014

 

Introduction

 Elena LASIDA et Geoffroy de VIENNE

 

Alexandre COCHARD Etudiant en M2 Economie Solidaire et logique de marché

 

Betty RODRIGUEZ Etudiante

 

 

Guy ISIMAT-MIRIN, vice président de l'ObsAR:

Développement des flux commerciaux depuis 20 ans. Mondialisation. Aggravation des déséquilibres et ses conséquences. Régulation : chemin parcouru et travaux en cours.

 

Yann QUEINNEC, Directeur Génral et juriste d'Affectio Mutandi

Les mutations normatives de la responsabilité Sociale des Entreprises, enjeux et risques

 

Jean-Philippe ROUCHON, chargé de mission ISR à l'ERAFP

Analyse des pratiques achats dans la notation des entreprises

 

Véronique DISCOURS-BUHOT, VDB Conseil, ancienne Directrice RSE du groupe Carrefour

La réalité du Terrain

 

 

 

 

 

 

Interview Soeur Michelle BARROT

 

3 Décembre 2013 : Interview Marie Laure Payen

 

 

 

 

 

 

4 Avril 2013 : Colloque E&I :

La Responsabilité Sociale des Entreprises : Doit elle impliquer un plus juste partage de la richesse produite?

 

I - Les différentes composantes de la RSE.

Cécile RENOUARD, Religieuse de l’Assomption, Maître de conférence au Centre Sèvres et Enseignante à l’Ecole des Mines de Paris

En conclusion, C. Renouard insiste sur la nécessité de :
- Harmoniser les règles à l’échelle internationale pour que chaque entreprise, où qu’elle soit, d’où qu’elle vienne ait les mêmes contraintes et rentre dans un processus vertueux de bonnes pratiques.
- Remettre la finance au service de l’économie en luttant contre l’exonération fiscale et en imposant l’intégration de la responsabilité fiscale dans la RSE, mais aussi en réduisant les écarts de revenus.
Voire à long terme en intégrant l’idée de transition écologique et énergétique.

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II - A qui appartient l’entreprise ?
Olivier FAVEREAU, Professeur de Sciences économiques à l’Université Paris Ouest-Nanterre-La Défense

 

 

Nous sommes actuellement dans une situation de vide intellectuel sur l’entreprise. N’ayant pas d’existence légale, alors qu’elle est une puissante réalité économique, la mise en cause de sa responsabilité reste pour le moment de l’ordre du vœu pieux, ou des effets – parfois significatifs - de réputation. La réflexion menée sur « à qui appartient l’entreprise » a au moins le mérite de responsabiliser … les tenants de la RSE, en leur rappelant la nécessité d’explorer des dispositifs plus contraignants que les « soft laws » actuelles.

 

III - La RSE et la répartition des richesses

Yves NISSIM, Adjoint au directeur Exécutif RSE, Directeur Transformation et Opération du groupe FT-Orange

Yves Nissim exprime sa fierté de constater l’évolution positive des engagements Orange-FT mais il exprime aussi une forte attente, celle de voir les rapports extra financiers exploités de façon conjointe par les analystes ISR et les analystes financiers afin de les intégrer à part entière dans les comptes financiers, même si, reconnaît-il c’est un processus d’une grande complexité.

 

IV - Point de Vue de la CFDT

Olivier BERDUCOU, en charge de la RSE et de la gouvernance d’entreprise à la CFDT

 

La RSE a toute sa place dans une action revendicative renouvelée.
Laurent Berger, nouveau secrétaire général de la CFDT, l’a bien identifié et a déclaré : « La RSE fait partie du nouveau mode d’action syndicale dans un nouveau modèle de développement ». Depuis, de nombreuses rencontres et actions sont menées auprès des salariés pour expliquer et convaincre de l’importance de la RSE.

 


V - Les Critères ESG dans l'Investissement ISR

Vincent COMPIEGNE, Analyste ISR chez AXA-IM


 
On constate une amélioration de la prise en compte de la RSE, mais les difficultés et les limites pour obtenir une information fiable persistent, en particulier, le manque de normes et d'homogénéisation de méthodologie (exemple du carbone). Autre problème, le manque d'information sur les petites capitalisations qui diffusent peu et pour lesquelles l'intégration de la RSE est un réal défi à relever.
 

VI- Olivier BONNET, Responsable de la stratégie ISR de l'ERAFP, Etablissement pour la Retraite Additionnelle de la Fonction Publique
 


 

Le partage de la valeur ajoutée est pris en compte en amont des investissements par un critères de notation témoin : l’évolution comparée de la masse salariale et de la rémunération des actionnaires, ainsi que par le respect de règles strictes en matière de vote du dividende. En ce qui concerne les plus hautes rémunérations, il a été fixé un seuil maximum tolérable à 100 fois le salaire minimum. Depuis 2012  l’ERAFP a demandé aux sociétés gérant ses fonds d’appliquer sa politique de vote spécifique et de l’informer de leurs intentions de vote pour les 40 sociétés françaises ayant le plus de poids dans son portefeuille.Cette procédure lui permet de suivre l’application de ses principes en amont et de rectifier le cas échéant.

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Dernière modification : 19/05/2015